| BRUNO LEBECQ

Titre : A quand l'apaisement et suivants (1)

Auteurs : Bruno Lebecq

Éditeur : ‎ Independently published (26 mai 2019)

No. de page de l'édition : 76 | Langue : Français | Date de publication : 26 mai 2009 | Dimensions : 15.24 x 0.48 x 22.86 cm

ISBN-10 : 1070381721 | ISBN-13 : 978-1070381725

Prix : Broché : € 4,00 | Numérique : € 2,00

Résumé

Mes poèmes expriment une quête. Une quête d’unité. Une quête d’équilibre. Mes poème expriment un désir. Un désir de plénitude. Un désir d’échange. Une construction. Je construis ces petits édifices avec des mots, ce sont peut être des chapelles. La beauté des croisées d’ogives m’a toujours impressionné. J’aimerais tant en construire. J’essaie. J’extrais les pierres et la marne du fond de mon cœur et je taille et pétris. Car les mots ont une forme, il faut s’en servir. Une mélodie. Je compose des partitions. Non seulement chaque mot sonne mais il rencontre un écho, dès qu’il est placé. Il transporte des émotions. La grammaire, c’est le solfège. La mélodie des strophes permet de déclamer, de chanter, de crier, de hurler parfois. Cette mélodie court sur un rythme, elle entraîne. Une peinture. Je peins à touchettes afin qu’apparaissent ces formes, celles qu’à première vue, on ne perçoit pas toujours. Mes textes sont autant de petits tableaux et, lorsqu’ils sont réussis, leur apparence calligraphique participe aussi de l’écriture. Les couleurs mettent en scène l’ombre et la lumière. Il faut qu’elles éclairent. Une réalité. Une ardeur profonde, physique, intime, me pousse au travail. C’est pourquoi chaque sens est condensé dans l’écriture. Tout mon corps est là, bien sûr. On est loin d’une démarche intellectuelle. J’arpente les champs de l’émotion et de l’intuition. Je cherche à m’approcher de l’au-delà. Il faut être là, complètement et partout. Quatre vingt poèmes de nature, d’intimité : A quand l’apaisement des sens / O maîtres du corps / Bourreaux de l’âme / Chefs de cœur ! Votre soleil embrase / Jusques aux phalanges, / Les doigts brûlent, / La peau s’emporte, / L’eau du corps / S ‘écoule en longues gouttes.

Scénario

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Titre : A quand l'apaisement et suivants (2)

Auteurs : Bruno Lebecq

Format : Kindle

No. de page de l'édition : 40 | Langue : Français | Pense-bête : Kindle scribe | Date de publication : 23 décembre 2014 | Taille du fichier : 1147 KB

ASIN : B00RE6861I | Synthèse vocale : Activé | Lecteur d'écran : Pris en charge | Confort de lecture : Activé

Prix au format numérique : € 2,00

Résumé

Mon poème exprime une quête. Une quête d’unité. Une quête d’équilibre. Mon poème exprime un désir. Un désir de plénitude. Un désir d’échange. Une construction. Je construis ces petits édifices avec des mots, ce sont peut être des chapelles. La beauté des croisées d’ogives m’a toujours impressionné. J’aimerais tant en construire. J’essaie. J’extrais les pierres et la marne du fond de mon cœur et je taille et pétris. Car les mots ont une forme, il faut s’en servir. Une mélodie. Je compose des partitions. Non seulement chaque mot sonne mais il rencontre un écho, dès qu’il est placé. Il transporte des émotions. La grammaire, c’est le solfège. La mélodie des strophes permet de déclamer, de chanter, de crier, de hurler parfois. Cette mélodie court sur un rythme, il faut qu’elle entraîne. Une peinture. Je peins à touchettes afin qu’apparaissent ces formes, celles qu’à première vue, on ne perçoit pas toujours. Mes textes sont autant de petits tableaux et, lorsqu’ils sont réussis, leur apparence calligraphique participe aussi de l’écriture. Les couleurs mettent en scène l’ombre et la lumière. Il faut qu’elles éclairent. Une réalité. Une ardeur profonde, physique, intime, me pousse au travail. C’est pourquoi chaque sens est condensé dans l’écriture. Tout mon corps est là, bien sûr. On est loin d’une démarche intellectuelle. J’arpente les champs de l’émotion et de l’intuition. Je cherche à m’approcher de l’au-delà. Il faut être là, complètement et partout. en trois recueils, une centaine de poèmes de nature, d’intimité, A quand l’apaisement des sens O maîtres du corps, Bourreaux de l’âme, Chefs de cœur ! Votre soleil embrase Jusques aux phalanges, Les doigts brûlent, La peau s’emporte, L’eau du corps S ‘écoule en longues gouttes. Odil Allebaï, universitaire a publié des nouvelles et des romans : le Jardin du Bonheur (2005), le Pigeonnier (2006), Eric ou la Vraie Vie (2009), L'Amour Irréparable (2010), Eric ou le Choix du Hasard (2012), Augustin ou l'Impatience d'un Jeune Danseur (2014) ; A quand l'Apaisement (2) fait partie d'une suite de trois recueils d'une trentaine de poème publiés en 2007, republiés en 2015. odil.allebai@orange.fr

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L’axe romanesque de mon travail s’ancre aux problématiques sociales et politiques actuelles, aux changements qui les transforment, entre autres les thèmes de l’écologie, des évolutions sociétales, comme l’urbanisation outrancière, les ouvertures de la sentimentalité, la rencontre et le brassage et la rencontre des populations et des cultures, le désir de spiritualité.

Ainsi, METROPOLITAN FOLLIES, le roman de la vie pleine de surprises d’un maire au long cours d’une ville de banlieue et le combat de celui qui parvient à éviter de justesse la faillite de sa commune dans le contexte pressant du mouvement de métropolisation effrénée du début du 21^ième siècle.

Ou bien, L’IRREPARABLE AMOUR, l’épopée d’une troupe de théâtre en 1981, année charnière de notre histoire, qui marque l’arrivée de la gauche au pouvoir, l’émergence de l’écologie politique et des mouvements homosexuels, mais aussi la maturité du féminisme, une tragédie hantée par la sincérité de l'ambivalence, où la mort s’insinue sur la voie de desseins magnifiques.

En cours d’écriture : un roman sur le sujet de la sentimentalité masculine, au moment où les hommes prennent la parole et qu’au milieu d’un concert tumultueux, émerge enfin une nouvelle masculinité.

Les nouvelles : Eric est mon confident. J’ai créé le personnage d’ÉRIC dans les années 1980 et ne me suis décidé que récemment à publier cette partie de mon travail. D’autres « ERIC » ont précédé « LA VRAIE VIE » comme « LE CHOIX DU HASARD », « LE CHATEAU DE BOIS LAMBERT » et « LE JARDIN DU BONHEUR » et d’autres suivront certainement car Eric est ce confident, cet ami inséparable auquel je confie la rude tâche de quêter le réel puis de dessiner avec ses mots ce qu’il voit, en bref de battre ses passions pour en tirer de l’expression.

L’aventure poétique, que je vis depuis tout jeune comme un acte de construire (« je construis de petits édifices avec des mots, ces mots ont une forme, il faut s’en servir), de chanter (« je compose des partitions de vocabulaire, ces mélodies courent sur un rythme, il faut qu’elles entraînent ») et de peindre (« je peins à touchettes de lettres afin qu’apparaissent des formes, celles qu’à première vue on ne perçoit pas »), finalement comme une manière de décrire un certain réel (« une ardeur physique, intime, me pousse au travail, tout mon corps est là, bien sûr. »). Je suis bien suis loin d’une démarche décorative (« J’arpente les champs de l’émotion et de l’intuition, je cherche à l’approcher de l’au-delà… »). Voici donc en quelques citations synthétiques, une entrée en matière des trois recueils constitués à ce jour. D’autres sont en préparation.

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